La "préférence nationale" instaurée par la loi immigration est contraire aux principes constitutionnels .
Elle porte gravement atteinte aux droits des enfants et à son texte de référence, la Convention internationale des droits de l'enfant signée par la France.
Le GROUPE SOS a pris la parole pour « dénoncer une nouvelle loi, qui érige des barrières supplémentaires à l’accueil et à l’accompagnement des personnes en détresse. Cette loi menace certains droits fondamentaux des individus, et va à l’encontre des valeurs d’humanité et de solidarité, sur lesquelles s’est construit le Groupe SOS il y a 40 ans ». https://lnkd.in/esW94YJQ
La CNAPE, la fédération des associations de protection de l'enfant appelle à un « sursaut républicain pour garantir les droits des enfants ».
UNICEF France est « profondément préoccupé par les impacts néfastes de la loi sur les droits des enfants en situation de migration ».
Claire Hedon, Défenseur des droits, dénonce un texte « d’une gravité majeure pour les droits fondamentaux ».
Le collectif CAUSE MAJEUR déplore « l’introduction d’une discrimination inédite dans l’accompagnement et l’intégration des jeunes majeurs de la protection de l'enfance, qui précarisera durablement les anciens mineurs non-accompagnés ».
GROUPE SOS JEUNESSE Faire grandir les enfants. Tous les enfants.